« La politique française exige une grande réactivité au quotidien. Grâce aux fonctionnalités en direct de Trint, nous pouvons travailler en temps réel et partager facilement des transcriptions au sein de la rédaction. »
Édouard Guihaire, adjoint au rédacteur en chef technique à l'Agence France-Presse (AFP), évoque les changements que sa rédaction a connus depuis l'intégration de Trint au flux de travail de l'agence en janvier 2024.
Comme toute agence de presse internationale, l'AFP doit publier des informations précises et rapides avant que l'un de ses concurrents ne la devance. En utilisant des outils tels que Trint Mobile Live, M. Guihaire et ses collègues peuvent réagir immédiatement à l'actualité, ce qui leur donne un net avantage dans le monde du journalisme moderne.
« En tant qu'agence de presse, nous nous devons de transcrire avec précision les événements en direct que nous couvrons, ce qui implique de trouver un outil efficace », explique M. Guihaire.
« Pour nos journalistes, Trint est un outil formidable pour traiter les nouvelles de dernière minute et éviter la pression intense qu'impliquent la dactylographie et la transcription. »
Fondée en 1835 sous le nom d'Agence Havas, l'AFP est la plus ancienne agence de presse au monde. Son siège est à Paris, en France. Présente dans 150 pays, l'agence dispose d'un impressionnant réseau d'information. Elle emploie quelque 2 600 collaborateurs représentant 100 nationalités différentes. Son contenu multimédia est publié dans le monde entier en six langues.
« Nous avons des bureaux partout dans le monde et travaillons dans de nombreuses langues. Sans solution adaptée, la transcription peut s'avérer compliquée », explique Édouard Guihaire. « Certains de nos bureaux utilisent un outil qui transcrit uniquement en anglais, tandis que d'autres effectuent leur propre transcription manuelle en écoutant un enregistrement qu'ils tapent à la main. Cela prend beaucoup de temps et met les journalistes sous pression, car ils doivent être à la fois rapides et précis. »
L'AFP avait besoin d'une nouvelle solution pour éviter ces problèmes de transcription et permettre à ses journalistes de se concentrer sur ce qu'ils font le mieux : écrire de bons articles. En mai 2023, le bureau de Paris de l'AFP a fait appel à Trint. Après un essai concluant, dont 83 % des utilisateurs remarquant une différence dans leur flux de travail, Trint a été approuvé à l'unanimité et est désormais utilisé par les journalistes de l'AFP du monde entier.
« Vous connaissez peut-être l'expression « charge mentale ». C'est ce qu'était la transcription pour nous avant d'utiliser Trint », explique M. Guihaire.
« Nous pouvons désormais accorder à chaque histoire toute l'attention qu'elle mérite plutôt que de perdre un temps fou à la tâche peu gratifiante de la transcription. Précision et rapidité sont enfin au rendez-vous ! »
En France et dans le monde entier, l'AFP a fait de la couverture rapide et efficace des événements en direct une priorité afin de rester compétitive dans un environnement médiatique en évolution rapide. Realtime, l'outil de transcription en direct de Trint, simplifie le travail des journalistes en transcrivant les flux de diffusion d'événements quotidiens dans plus de 40 langues.
« À Paris, un service entier est consacré aux questions politiques en France », explique M. Guihaire. « Chaque jour, le Président, le Premier ministre ou un autre fonctionnaire peuvent prendre la parole lors d'une conférence de presse ou dans une émission de radio. C'est beaucoup de choses à gérer. Avec Trint, quelqu'un peut surveiller le flux en temps réel et partager tous les moments importants de la transcription en direct avec le service. »
L'AFP utilise également la fonction unique de transcription en direct de Trint, Mobile Live. Les journalistes sur le terrain peuvent ainsi capturer et transcrire en direct de l'audio depuis leur téléphone et en partager chaque mot avec leur équipe située dans un autre bureau ou un autre pays. Un outil efficace qui a permis à Édouard Guihaire et à son équipe de gagner du temps et de rester aux avant-postes de l'actualité lors de la COP 28 à Dubaï l'année dernière.
« Pour les événements de ce type, de nombreuses réunions sont fermées à la presse », se souvient-il. « À la fin de ces réunions, les officiels s'adressent souvent à la presse avant de partir, ce qui est évidemment un moment où il faut être rapide et précis.
« À la COP, nous avions placé l'un de nos journalistes au plus près de l'événement. Sa tâche : enregistrer la déclaration officielle en fin de réunion à l'aide de son téléphone et de Trint. Cette transcription était alors transmise directement au reste de l'équipe via un Espace partagé afin qu'elle puisse publier au plus vite toutes les infos clés de la journée. »
« Nos journalistes, qui travaillent dans quatre langues différentes, ont également partagé et mis en évidence des citations clés dans les transcriptions en direct des discours prononcés par les dirigeants du monde entier, ce qui nous a permis d'éviter les e-mails et de travailler plus rapidement. Je sais que l'équipe dépêchée sur la COP était très satisfaite de cette manière de faire et de collaborer. »
Se remémorant sa carrière de journaliste, M. Guihaire se souvient d'une époque où il était basé à Londres et où un outil comme Trint aurait pu changer bien des choses dans sa façon de travailler. « Parfois, nous avons jusqu'à cinq, six ou sept interviews sur l'enregistreur. On a beau savoir qu'on tient une bonne histoire, on se rend aussi vite compte qu'avant de la publier, il faudra passer des heures à transcrire la piste audio », dit-il.
« Ma langue maternelle est le français. Or, quand chaque mot sur mon enregistreur est en anglais, je dois aussi composer avec le défi de la traduction. Avec un outil comme Trint, j'aurais pu éliminer cette charge mentale et tout transcrire en un rien de temps. »
M. Guihaire se souvient d'une autre fois où il travaillait comme correspondant au département d'État américain et où la transcription en direct aurait pu être une aide précieuse. « J'étais à Washington pour couvrir Hillary Clinton, qui était secrétaire d'État à l'époque », raconte-t-il. « Cela pouvait impliquer de voyager d'un pays à l'autre dans la même journée, avec souvent très peu de temps pour écrire un article. »
« La transcription en direct aurait été très utile. Tout aurait pu être prêt à être partagé sans que j'aie à taper quoi que ce soit, peu importe l'endroit où je me trouvais. »